La question de l’année et de la prochaine décennie ? C’est vrai que cette crise exceptionnelle a bloqué beaucoup de foyers dans le monde et en France. Pour résister financièrement au confinement, les gens ont été forcé de prendre des semaines de congés forcés pour ne pas avoir une perte de salaire trop importante et même pour éviter de perdre leur emploi. Résultat : les Français sont restés bloqués en France chez eux ! Mon parents par exemple ont pris conscience qu’ils vivaient finalement dans une ville peu agréable à vivre au quotidien.
Pourtant cela fait plus de 40 ans qu’ils vivent dans cette ville. Mais c’est en passant des mois et des mois dans cette même ville dans un périmètre réduit proche de leur maison qu’ils se sont rendus compte que le cadre de vie n’était pas à la hauteur. Pas assez d’espace naturel, zone commerciale proche mais loin de la mer, loin de la nature… tout cela c’est FINI. Ils ont décidé de vendre leur maison en ville pour « s’expatrier » vers la mer, proche d’une forêt de pins et ils ont acheté un un bien avec une vue sur la mer.
1- L’immobilier en ville ?
Suite à la crise du COVID-19, beaucoup de personnes en Europe et dans le monde ont vécu dans des conditions difficiles que ce soit seul, en couple ou en famille dans des biens immobiliers parfois exigus, dépourvus de jardin, de végétation et d’espace naturel proche.
Après l’exode rural massif que nous avons connu ces dernières décennies, il est vrai que le format classique du citoyen aujourd’hui c’est ça : habiter en ville, dans un appartement ou un studio, avec 4 ou 5 voisins en mur mitoyen, vue sur du béton.
Tout cela avec un loyer ou une mensualité de crédit exorbitant, respirant un air pollué, écoutant un bruit incessant, celui des voitures, des bus, des autres personnes dans la même situation dans cette course contre la montre que l’on mène avant tout pour sa famille, pour soit-même pour survivre, pour vivre et préparer un avenir qui est semblé être meilleur sinon pourquoi faire tout cela ?
Rester confiné dans ces conditions nous a semblé quelque chose de réellement insupportable et même anormal ! Tout d’un coup, habiter à la campagne et proche de la nature ne devient plus ringard, chiant, mais vital…

Le cauchemar urbain
2- Vendre son bien immobilier en ville ?
Alors je vous le concède, le travail et les activités sont encore en ville, et ici on ne parle pas encore d’exode massif des villes vers la cambrousse, non, même si Paris perd 10 000 habitants par an depuis 5 ans par exemple.
Ainsi vivre proche de la nature devient ou redevient un besoin primaire et était déjà un luxe pour ceux qui pouvaient se permettre cela avant la crise du Corona. Avoir sa résidence principale ou secondaire proche de la mer, en montagne, à proximité d’espace naturel protégé finalement c’est un pilier fondamental pour un foyer bien avant la belle voiture…
Et bien sûr, pour posséder un bien qui comporte ces qualités, il faut de l’argent. Le Parisien, le Nantais qui veut une résidence secondaire proche de la mer à La Baule par exemple devra poser sur la table au moins 120 000 euros pour un studio de 15 ou 20m2 et pas nécessairement très proche de la mer… Et en plus pour un studio à rénover. Je ne vous parle pas des prix des maisons…
L’expression de la nature au Monténégro
Question nature, le Monténégro est aujourd’hui un incontournable. Vous connaissez beaucoup de coins, où vous avez la mer, la campagne, la montagne et ses stations de ski à moins de 3 heures en voiture quand vous êtes sur la côte ?
3- Un bien immobilier proche de la nature
Quand on pense à la diversité naturelle présente au Monténégro, avoir les frontières fermées quelques mois ne nous privent pas d’une telle diversité et c’est une chance de pouvoir y accéder sans passer aucune frontière. Mais sortons de l’exceptionnel pour aller vers l’habituel.
Posséder un bien dans ce cadre environnemental sans pour autant casser sa tire-lire, c’est aussi ça le Monténégro. Résidence principale ou secondaire, pour un studio de 15 ou 20 m² neuf proche mer, il faudra débourser 45 000 voire 35 000 euros selon les opportunités en présence. Une maison de 70 m² avec un style à l’ancienne, à rafraîchir, peut se trouver pour 90 000 euros. La même maison, sans travaux pourra elle se trouver à 150 000 ou 170 000 euros.
Pour les fans de villa en pleine nature, le Monténégro a ce qu’il vous faut.
Une villa proche de l’île de Sveti Marko
Même si on parle ici de budget plus élevés, on peut aussi trouver son bonheur dans ce type de biens immobiliers qui ne sont pas rare au Monténégro. Au final, peu importe le type de bien que vous souhaitez acquérir. Ce qu’on a compris grâce ou à cause de cette crise sanitaire mondiale, c’est que la proximité de la nature est un point capital dans le choix d’un investissement.
Que ce soit pour soi-même et pour nos enfants, une crise sanitaire à la mer, à la montagne ou à la campagne peut vite se transformer en vacances prolongée. Pendant ce temps-là, ceux qui sont en ville ont l’impression que cela se transforme en séjour en « prison »…
4- Vous vivez en ville
SI vous vivez en ville, vous pouvez quitter cette vie de citadin très rapidement. Actuellement, il reste assez facile de vendre des biens immobiliers situés en ville. Vous en obtiendrez un bon prix, et vous aurez un budget conséquent pour acheter un voire deux biens immobiliers par la suite. C’est pour cela, que l’on peut considérer cette crise comme une opportunité pour beaucoup. Le marché immobilier va connaître une évolution « vitale » pour répondre à ce retour aux sources « naturelles ».
Et même si certains vont continuer à habiter en ville pour le travail ou pour les enfants qui ont toutes les écoles nécessaires à leur apprentissage, la résidence secondaire va devenir ici une nécessité si ce n’est pas déjà le cas.
5- Votre résidence secondaire au Monténégro
L’idée pour chacun d’entre nous, ce n’est pas de posséder un bien immobilier où il va pleuvoir tous les jours ou trop souvent. Profiter d’une résidence secondaire peu importe la situation du moment, c’est toujours mieux quand un climat naturel favorable vous accompagne. Plus il y a de soleil, moins il y a de dépression. C’est dur de perdre le moral au Monténégro, même si vous n’avez pas à travailler pendant deux mois. L’ambiance méditerranéenne, c’est déjà un soutien psychique de taille. Alors si vous comptez vous préparez pour le prochain confinement ou plus simplement pour une meilleure qualité de vie : un investissement au Monténégro pourrait changer votre vie.
Porto Monténégro à Tivat
Tout cela, en pleine nature, mais à proximité d’une ville, d’une zone commerciale, d’un aéroport. Etre connecté à la nature, tout en restant connecté au monde. Voilà quelques atouts du Monténégro.
1 réflexion sur “Dans quel type de bien immobilier investir après le Covid-19 ?”
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